J’ai découvert la fessée hard

Catégories : Femmes fessées
il y a 4 ans
Cela faisait longtemps que je surfais sur des vidéos de fessée hard. Il en est de même pour les photos érotiques de fesses marquées par la canne anglaise. Elles me faisaient à la fois peur et envie. Envie de le vivre au moins une fois pour voir.

A 29 ans, des fessées j’en avait déjà reçues, des plus ou moins douloureuses, des amusantes, des orientées sexes puisqu’elles étaient des préliminaires un peu piquants. Je n’avais encore jamais atteint les sommets décrits dans certaines histoires érotiques. Et ça, cela me titillait.

Mon dernier petit copain aimait bien les scénarios, au début cela m’amusait de jouer la vilaine fille qui a triché en classe, qui revient à la maison avec un mauvais bulletin scolaire. Il me grondait, me mettait au coin, fesses à l’air ou parfois intégralement nue avec les mains sur la tête. Je trouvais cela excitant même si c’est un peu humiliant. Après je devais aller me coucher sur ses genoux pour recevoir ma fessée dite punitive. Dès que mes fesses devenaient rouges, il s’arrêtait, me renvoyait au coin avant de me réconforter.

J’aimais bien ces gros câlins après la fessée, puis, entre deux bisous, ses mains qui se mettaient à vagabonder sur mon corps. Mais tout cela n’était que des jeux bien trop doux. Alors je me suis lancée dans les provocations pour en avoir plus. J’en ai eu plus souvent, mais toujours aussi soft. Il me disait avoir peur de me faire mal ou de me blesser et qu’il m’aimait trop, pour me punir pour de vrai. Son amour pour moi était un frein à ma demande de vraies fessées. Je lui ai pourtant acheté une strappe sur ABCplaisir, il en avait peur et me tapait moins fort qu’à la main. La haine, car je l’avais essayée seule cette strappe en me mettant un coup très fort, j’avais bien aimé mais se fesser seule c’est nul.

Alors je me suis remise à chercher un fesseur sur le net. C’est comme ça que je suis arrivée sur Fessestivites. Là j’ai trouvé de tout ! Des switchs désirant être aussi fessés, des Maîtres cherchant une soumise, moi soumise ? Même pas en rêve ! ! !

Et puis j’ai commencé à discuter avec un homme mûr, d’une cinquantaine d’années. Il se présentait comme Maître et fesseur, en indiquant qu’il différenciait bien les deux pratiques. Il indiquait également que le sexe n’était absolument pas sa recherche. Que cela pouvait arriver uniquement s’il y avait de grandes affinités, en précisant que cela n’était, absolument pas sa recherche.

Lors de nos échanges de message privés, j’ai vraiment senti qu’il s’intéressait à moi avec une réelle volonté de comprendre mes envies. Lorsque je lui ai demandé pour vérifier s’il avait aussi envie de switcher, il m’a répondue le mot « jamais » en majuscule en précisant clairement que les fessées, c’est lui qui les donnait.

A travers nos échanges, je me sentais en confiance, je me suis un peu lâchée quand je m’excitais trop. Alors un soir, je lui ai adressé des liens de vidéos de fessées hards trouvées sur Fessestivites. Il m’a demandé de patienter, le temps qu’il regarde ce qui me faisait envie. J’aurai bien aimé qu’il les regardent plus tard, quand je lui ai demandé s’il en avait pour longtemps, il m’a répondue à sa façon :

  • Si je dois un jour m’occuper de vos fesses, il va vous falloir apprendre la patience, ou vous risquez d’avoir du mal à vous asseoir si vous voyez ce que je veux dire !

Quelques minutes plus tard, il est revenu vers moi via le tchat en me disant que mes envies ne lui posaient aucun problème. Et là, il a commencé à me parler de « no-limit » réalisé avec ses soumises et deux filles adeptes de la fessée. Cela m’a fait très peur et en même temps, très excitée. Il a été très clair, pour le « no-limit » il faut vraiment bien se connaître. Educateur30 m’a proposée une alternative qui me permettrait, la première fois que nous nous verrions, de vivre ce que j’avais envie mais à sa façon.

  • Après une petite fessée d’échauffement, je vous entraverai sur un meuble. Vous déciderez combien de coups de canne anglaise vous méritez. Je ne vous en donnerai pas un de plus, mais je vous donnerai le nombre que vous aurez décidé même si vous me suppliez d’arrêter. Cela sera un compromis entre le « no-limit », la vraie fessée qui vous fait rêver. Que pensez-vous de cette proposition ?

Je lui ai répondu que sa proposition me plaisait bien et sa réponse m’a mise aux pieds du mur.

  • Alors si nous sommes d’accord, je vais vous donner mon numéro de téléphone. Vous allez m’appeler et nous ferons connaissance de vive voix. Si vous ne m’appelez pas sous 24h, c’est que vous ne franchirez jamais le pas du réel, et dans ce cas, je vous souhaiterai bonne chance dans vos recherches.

Je n’ai pas aimé sa réponse, parce que, en clair, soit je l’appelai, soit il m’envoyait balader. Cela sentait réellement une réponse de Maître, qui n’a pas envie de s’emmerder avec une jeunette. Alors je lui ai demandé s’il était sérieux dans cette réponse.

  • Je suis toujours très sérieux, aussi bien dans le respect des personnes que je reçois que dans mes actes et promesses. Avec moi, c’est donc sans mauvaise surprise. Et vous, êtes vous sérieuse en me parlant de vos envies ?

  • Oui, bien sûr !

  • Alors appelez-moi !

................

Je l’ai appelé et trouvé aussi agréable au téléphone que sur le site. Sa voix était posée, calme, il ne me draguait pas et restait totalement dans le cadre de notre discussion, ce qui était très rassurant. j’ai donc accepté d’aller chez lui un samedi en fin d’après-midi.

A mon arrivée, il m’a sourie mais pas fait la bise. Il m’a directement guidée dans son salon avant de me demander, si j’avais réfléchi à sa proposition de fessée à la canne anglaise comme sur les vidéos. J’étais soudain moins fière !

Devant mes hésitations, il a aussitôt enchaîné en me disant que j’avais cinq minutes de retard et que cela n’était pas acceptable. Sa main a attrapé fermement mon bras pour me guider vers son canapé. Je savais ce qui allait m’arriver et d’être fessée comme ça, par un homme que je rencontrais pour la première fois, était très intimidant. Il m’a faite m’allonger sur ses genoux, sans la moindre hésitation il a relevé la jupe et sans plus attendre, Educateur30 a commencé à me fesser.

Ses claques étaient très modérées, un pur moment de plaisir honteux à peine piquant. Quelques minutes plus tard, il a attrapé le haut de mon Tanga et l’a baissé sans me prévenir. Mon joufflu dénudé n’a pas été une piste d’atterrissage de caresses, la fessée a repris de plus belle. Il alternait entre la fesse droite et la fesse gauche, puis la fessée en descendant (ça c’est bon) et la fessée en remontant et ça, cela pique !

Educateur30 parlait peu, juste quelques reproches sur mon retard. Il m’a juste dit de méditer sur la politesse que représente la ponctualité avant de commencer à me fesser pour de vrai. J’ai vraiment senti la différence ! ! ! Quand j’ai voulu mettre ma main pour protéger mes fesses, elle a fini bloquée dans mon dos. Mes jambes ont été elles aussi bloquées par la sienne, et j’ai reçu ma vraie première fessée. celle où on a envie que cela s’arrête, celle où on se mord les lèvres pour ne pas crier et qui vous fait monter les larmes aux yeux.

Il s’est arrêté aussi soudainement qu’il avait commencé en me laissant le temps de respirer et me remettre. Une fourmilière s’était installée dans la peau de mes fesses. J’ai beaucoup apprécié qu’il me laisse le temps de rester allongée sur ses genoux, même si j’étais « rétamée » comme une crêpe impudique. Ce qui m’a donnée des envies d’aller plus loin avec lui, c’est que pour la première fois de ma vie, j’avais vu venir une possible jouissance sous la fessée. S’il avait continué, je pense que j’y serais parvenue.

Il m’a faite agenouiller devant le canapé et mettre les mains sur la tête. Le côté « à genoux » ne me plaisait pas, cela faisait trop « soumise » pour moi mais j’ai accepté quand même, je ne sais pas pourquoi. Il est allé me chercher un verre d’eau avant de revenir s’asseoir dans le canapé.

  • J’espère que cette fessée vous permettra de progresser dans la ponctualité petite rebelle ! Retenez que j’ai été relativement doux avec vous, ce n’est qu’une première rencontre.

Je l’ai remercié en lui disant que cela piquait un peu quand même.... Il m’a répondu par une question : « n’est-ce pas le but d’une fessée » ? Il m’a permise de me relever et demandée d’attraper la canne que je n’avais pas vue et qui était accrochée au portemanteau.

  • Je vous laisse la toucher et sympathiser avec elle. Elle peut être très jouissive ou très méchante. C’est autant un état d’esprit à vivre qu’une façon de la donner. Êtes-vous toujours décidée à faire sa connaissance ? M’a demandé Educateur30.

Je lui ai demandé si j’avais le droit de réfléchir un peu avant de répondre, un grand sourire a été sa réponse à ma question. Il savait que j’allai dire oui, mais me laissait le temps de me remettre. Nous avons discuté un peu, il voulait savoir si j’avais apprécié la fessée qu’il venait de me donner. Je lui ai avoué que c’était la première vraie fessée que j’avais reçue. Il a été surpris, alors je lui ai reparlé de mes expériences. Educateur30 n’a absolument pas jugé mes précédents fesseurs et petits copains. Au contraire, il leur trouvait des excuses en me disant que l’amour, est souvent un gros frein pour les personnes qui débutent. Il m’a même dit que c’était normal et que je ne devais pas leur en vouloir.

La canne que j’avais dans les mains me faisait de l’oeil, je mourrais d’envie de découvrir les sensations.

  • Voulez-vous essayer quelques coups léger avant de passer à l’expérience dont nous avons parlé ?

La pudeur m’interdisait de répondre, j’ai juste fait « oui » de la tête. Educateur30 m’a désignée la table en chêne de son salon, je suis allée m’appuyer dessus et pencher pour lui offrir mes fesses. Ce sadique s’est amusé à la faire siffler dans l’air pour m’impressionner avant de relever ma jupe. Sans même baisser mon Tanga il m’a donnée un premier coup pas très appuyé. J’ai bien aimé sa façon de nous faire faire connaissance ! Le second a été plus mordant. La sensation d’un léger trait de feu m’a grisée.

  • Alors, combien de coups de canne voulez-vous pour cette première ? M’a demandée Educateur30

Dans ma folie, j’ai répondu 100 ! Il a rigolé et dit que 50 serait déjà très suffisants.

Et dire que j’étais presque déçue, quand il a commencé à me lier les mains avec une corde, pour m’obliger à rester penchée en avant sur sa table. Il a ensuite lié mes chevilles ensemble, avant de passer la corde sous la table pour la fixer à un anneau. Avec toujours autant d’élégance, il a remonté ma jupe qui était tombée puis a baissé mon Tanga.

Ce moment était très inquiétant et en même temps très excitant. J’allais enfin vivre un Canning, comme j’avais vu sur les vidéos de Fessestivites. Educateur30 m’a indiquée de me concentrer sur les sensations et qu’il était inutile que je compte les coups, il y en aurait 50 et pas un de plus.

Le premier m’a cisaillée les fesses avant de m’enflammer les sens. J’étais heureuse de pouvoir vivre ça. Le second a été tout aussi douloureux et tout aussi agréable. Au sixième j’ai commencé à me dire que cela allait être long et qu’effectivement, 100 aurait été beaucoup trop. Entre chaque coup il prenait son temps et me caressait les fesses avec la canne. Au douzième j’ai commencé à mordre ma manche.

D’un seul coup, il a changé de stratégie, j’en ai reçu plusieurs sans pause au milieu et là, j’ai bien cru que mon fessier prenait réellement feu. La caresse de la canne sur mon fessier a généré une contraction, que je n’avais jamais avec sur une « caresse » à cet endroit là. Il a repris ses coups espacés, j’ai bien senti qu’il augmentait la puissance. Entre chaque, je reprenais ma respiration comme si je venais de faire un cent mètres.

Et puis il a décidé de passer à vitesse supérieure. J’ai bien cru que mon cul explosait sous les coups. Il ne s’arrêtait plus, je criais « stop » tout en sachant qu’il ne s’arrêterait pas. Je tirais sur sa putain de corde en vain, j’ai essayé de plier un peu les genoux sous la table mais cela faisait encore plus mal. Il y a eu la dernière ligne droite, le cent mètres de la fessée qui m’a rendu folle.

Tout c’est arrêté. J’ai compris avec soulagement que c’était terminé. CE TRAITRE a planté ses ongles sur moi et les a fait glisser du haut de mes cuisses jusqu’à mes reins. Mon corps s’est mis à convulser et j’ai joui comme une malade. Il l’a refait plusieurs fois et rendue dingue, non pas de douleur mais de sensations grisantes, « trop fortes dans le grisante ». je sais que ce que je viens de décrire n’est pas français, mais c’est réellement ça.

Il m’a abandonné en larmes sur la table, pour faire une photo avant de venir passer une crème pour les coups sur mon fessier. Educateur30 a remonté mon Tanga, après avoir libéré mes jambes. Quand il a détaché mes mains, j’arrivais à peine à me relever tant j’étais épuisée. Il m’a portée sur le canapé et installée sur ses genoux pour un gros câlin de Daddy.

Lovée dans ses bras devenant protecteurs et non plus « tueurs », j’étais bien même si le feu continuait de couver dans mes fesses.

Au bout d’un moment, il a voulu que je boive une boisson sucrée pour m’aider à revenir sur terre. Le coca bien frais m’a fait un bien fou. Mon sadique était tout souriant, et moi j’étais un peu honteuse d’avoir joui comme une folle, devant un homme que je voyais pour la première fois. Prise d’un impérieux besoin de fuir ma honte, je l’ai remercié et je suis partie. Les sièges du tram m’ont parue horrible ! J’ai fait le voyage debout !

Vous savez pas quoi ? Non ? Et bien j’ai déjà envie d’y retourner et d’être très vilaine !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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